La fondation Venom, basée à Abou Dabi, va établir un centre d'innovation blockchain à Nairobi, au Kenya, suite à un partenariat avec le gouvernement du Kenya.
Selon Venom, le Hub Blockchain du Kenya fournira des outils et des ressources essentiels pour aider les nations africaines à établir une base solide pour la transformation numérique. En mettant en œuvre des solutions basées sur la blockchain, l'objectif est de promouvoir la transparence, l'efficacité et la confiance à travers le continent.
La fondation travaillera avec le gouvernement kenyan pour développer et mettre en œuvre des solutions blockchain pour divers secteurs tels que la gestion de la chaîne d'approvisionnement, le registre foncier, les systèmes de vote et la tokenisation d'actifs.
Le partenariat vise également à contribuer à des secteurs déjà importants sur le continent, notamment l'infrastructure financière, l'agroalimentaire, les PME et le commerce transfrontalier.
Le hub blockchain et Web3 est envisagé comme une plateforme centrale pour les entreprises technologiques africaines et les entités gouvernementales, favorisant l'échange de connaissances et la collaboration entre les parties prenantes.
Le secrétaire du cabinet du Kenya, ministère des Investissements, du Commerce et de l'Industrie, Moses Kuria, a déclaré que le pays avait été sélectionné par Venom alors que le pays accélère ses efforts pour attirer les entreprises technologiques mondiales cherchant à exploiter son talent technologique.
« L'Afrique est déjà riche en ressources naturelles et en capital humain », a déclaré Christopher Louis Tsu, CTO de la Venom Foundation.
«En apportant une technologie blockchain de nouvelle génération sur le continent, cela permettra d'autonomiser les gens et d'aider non seulement le Kenya mais de nombreuses autres nations africaines à tirer parti de leurs actifs et à participer de manière compétitive à de nouveaux marchés mondiaux.»
La Fondation Venom avait précédemment annoncé un fonds de 1 milliard de dollars pour les entreprises Web3 et blockchain en collaboration avec Iceberg Capital. Le fonds d'investissement vise à attirer les entreprises technologiques à utiliser la solution blockchain scalable basée sur le proof-of-stake de Venom.
En conséquence, le fonds Venom Ventures, « agnostique en matière de blockchain », vise à investir dans des « protocoles innovants et des dApps Web3 … DeFi, services bancaires et GameFi », selon les deux groupes d'investissement du Moyen-Orient.
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La Venom Foundation établira un hub d'innovation Blockchain pour l'Afrique au Kenya en partenariat avec le gouvernement.
La fondation Venom, basée à Abou Dabi, va établir un centre d'innovation blockchain à Nairobi, au Kenya, suite à un partenariat avec le gouvernement du Kenya.
Selon Venom, le Hub Blockchain du Kenya fournira des outils et des ressources essentiels pour aider les nations africaines à établir une base solide pour la transformation numérique. En mettant en œuvre des solutions basées sur la blockchain, l'objectif est de promouvoir la transparence, l'efficacité et la confiance à travers le continent.
La fondation travaillera avec le gouvernement kenyan pour développer et mettre en œuvre des solutions blockchain pour divers secteurs tels que la gestion de la chaîne d'approvisionnement, le registre foncier, les systèmes de vote et la tokenisation d'actifs.
Le hub blockchain et Web3 est envisagé comme une plateforme centrale pour les entreprises technologiques africaines et les entités gouvernementales, favorisant l'échange de connaissances et la collaboration entre les parties prenantes.
Le secrétaire du cabinet du Kenya, ministère des Investissements, du Commerce et de l'Industrie, Moses Kuria, a déclaré que le pays avait été sélectionné par Venom alors que le pays accélère ses efforts pour attirer les entreprises technologiques mondiales cherchant à exploiter son talent technologique.
« L'Afrique est déjà riche en ressources naturelles et en capital humain », a déclaré Christopher Louis Tsu, CTO de la Venom Foundation.
«En apportant une technologie blockchain de nouvelle génération sur le continent, cela permettra d'autonomiser les gens et d'aider non seulement le Kenya mais de nombreuses autres nations africaines à tirer parti de leurs actifs et à participer de manière compétitive à de nouveaux marchés mondiaux.»
La Fondation Venom avait précédemment annoncé un fonds de 1 milliard de dollars pour les entreprises Web3 et blockchain en collaboration avec Iceberg Capital. Le fonds d'investissement vise à attirer les entreprises technologiques à utiliser la solution blockchain scalable basée sur le proof-of-stake de Venom.
En conséquence, le fonds Venom Ventures, « agnostique en matière de blockchain », vise à investir dans des « protocoles innovants et des dApps Web3 … DeFi, services bancaires et GameFi », selon les deux groupes d'investissement du Moyen-Orient.
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